Hier au soir j’étais après charrer pour les langues des signes avec un étranger, par rapport le conte en dessus, et j’ai décourvert qu’il croyait incorrectement qu’il y avait juste une langue des signes. Il était joliment surpris de savoir qu’il y avait un tas, que les locuteurs de la langue des signes américaine peuvent pas comprendre les locuteurs de la langue des signes britannique parce que ça c’était complètement des langages sans rapport.
Ça indique les problèmes inhérents avec les langages peu connu. Par exemple, si l’imposteur dedans le conte serait traduiseur d’afrikaans, ça serait pas probable qu’il aurait arrivé à la scène parce qu’il y aurait peut-être beaucoup de fois avant qu’il aurait arrivé là éoù quelqu’un aurait pu le découvrir. Pour la langue des signes, il y a pas autant de fois.
Ça c’est pas juste un problème pour attraper les imposteurs, mais même pour les locuteurs vrais des langages qui s’usent pas souvent. Par exemple, cet étranger que j’ai connu devient de la Nouvelle-Zélande éoù des aucuns après essayer de sauver le langage māori. Des problèmes se présentent parce que le langage est pas assolidé et il y a pas des normes linguistiques là. Les maîtres d’école sont pas souvent locuteurs natifs et font des erreurs, des fois de grosses erreurs, mais les étudiants assument que les maîtres sont corrects. Plus tard, équand les étudiants essaient de charrer avec tes grands-parents qui sont locuteurs natifs, eux-autres peut pas du tout communiquer.
Les langages sont pas des choses concrètes, ils sont des choses abstraites qui se créent socialement. Sans les normes assolidées et partagées avec d’autre monde, c’est impossible de connaître si ça après user correctement le langage ou juste après dire du bagoul, comme l’imposteur dans l’Afrique.
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