Opéra Créole. Pour un groupe musical, c’est un nom intriguant qui évoque les sens abondants qui se peuvent. Eux-autres chante les standards d’opéra en créole ? Le créole haïtien ou louisianais ? Ou eux-autres chante la musique composée par le peuple créole ? Dans ce cas, quelle définition du peuple créole qu’eux-autres suit ? Y a eu des aucuns créoles qui ont composé les pièces d’opéra premièrement ? Cependant, Opéra Créole est pas vraiment une de ces affaires; c’est plus comme ça :
Non pas que j’aie une charge contre Scott Joplin, et Treemonisha est avec certitude un trésor caché, mais quoi ce qu’une œuvre par l’initiateur du ragtime, un native de Texarkana, a à voir avec n’importe quoi de créole ?
J’ai vu ce groupe y a plusieurs semaines à l’église Rayne Memorial United Methodist à la Nouvelle-Orléans et ça que j’ai découvert était un essai de dépeint un portrait de la vie musicale du peuple créole en Ville pendant le XIXe siècle. Le programme a les titres qui comprennent des thèmes tels que les arias favories, les compositions par les compositeurs créoles, et.. les spirituals afro-américains du XXe siècle ?
Encore une fois, comment Porgy and Bess à Gershwin ou Mass à Bernstein s’adonne avec la vie créole du XIXe siècle à la Nouvelle-Orléans ? Quoifaire comprendre de la musique d’un siècle différent à une mode entièrement différente, particulièrement équand le nom du groupe, Opéra Créole, suggère que la musique qu’eux-autres joue sera la musique lyrique ? Une telle disposition variée de sources crée une incohérence qui est plutôt un chouchou à viser quelques affaires nommées ci-dessus, qui me semblent complètement gones de n’importe quel groupe après jouer au jour d’aujourd’hui.
Opéra Créole est au point des choix de programmation unique, en tout cas. Le set a commencé avec E tan patate (Traduit comme Whenever Your Potato is Done {N’importe équand ta patate est fini} dans le programme) et Fais dodo et puis a terminé avec Cher, mo lémmé toi (Cher/Chère, je t’aime), trois chansons traditionelles louisianaises, arrangées par la musicienne Camille Nickerson. Ça, c’était la première fois que moi, j’ai jamais entendu, ou même entendu de, les chansons orientées vers la musique classique et chantées en créole louisianais. On aurait de la peine à trouver des exemples du langage dans la musique cadienne, la-la, ou zarico, encore moins dans la musique orchestrale. Le groupe a aussi fait à l’audience chanter deux lignes répétées de dernière pièce, après fournir une occasion d’apprendre une phrase commune créole (Mo lémmé toi kòm ti kochon lémmé labou [excusez l’orthographe], Je t’aime comme un petit cochon aime la boue). Un programme entier dédiqué à ce type d’affaire aiderait beaucoup à donner au groupe une mine unique tandis que ça aiderait aussitte à garder un langage local en voie de disparition, pourtant ces chansons ont justement fonctionné comme serre-livres à un recueil bien différent.
Des compositeurs créoles peu connu, comme Edmond Dédé et Samuel Snaër, comprennent aussitte une partie de ce programme. Dans ce cas, je veux dire créoles comme l’idée du XIXe siècle, qui comprend plus ou moins ceux qui ont été né dans la Louisiane. Ça confond même plus fort l’affaire puisqu’Opera Créole m’a l’air de préférer la définition moderne du mot créole, qui veut dire n’importe qui qui est d’origine africaine et française, né dans la Louisiane, ou peut-être n’importe qui qui est tout simplement d’origine africaine. À la fin, moi, je suis pas sûr de ça qu’Opéra Créole s’agit, mais cette idée des définitions variables du mot créole mérite peut-être un autre poste.
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