Lire le français dans la Louisiane est important. J’ai parlé après ça auparavant en référence aux les effets potentiels du succès à Kirby Jambon avec Petites communions : Poèmes, chansons, et jonglements sur la littérature louisianaise, mais ça que j’ai pas parlé est la manière on accède à ces œuvres.
La succursale Milton H. Memorial de la bibliothèque publique de la Nouvelle-Orléans a récemment ouvert une nouvelle section des livres en français, nommée le French Corner, axée sur les enfants et les jeunes grands qui assistent aux écoles d’immersion en français proche de là, comme NOLA Française a constaté. Ce don initial a été fourni par le Consulat général de France, qui, j’ai été informé, va fournir plus de livres cet automne.
L’expansion sera une bonne affaire. Ma première impression de cette section était que ça a l’air utile pour les enfants, mais bornée, et j’avais peur ça aurait pu être une de ces initiatives qui perd vite son énergie. Bien que d’autres zones similaires sont pas espérées aux autres succursales, la succursale Latter semble avoir fort idée de garder la sienne.
La bibliothèque va pas dépendre sur les dons du Consulat, mais ça va activement acheter les livres aussitte, ainsi que même les films en français, basé sur les remarques du personnel et des usagers. Ça veut dire qu’il y a une occasion pour ceux qui visitent ce site d’aider guider son développement en yeux contacter. Une affaire que j’ai notée, par exemple, était qu’il y avait pas de livres écrits par les auteurs louisianais. Bien sûr, il y a beaucoup plus d’options si on cherche les livres pour les enfants et les jeunes grands à l’extérieur de la Louisiane, mais il y a aucune raison ça peut pas devenir une allonge aux possibilités économiques pour les écrivains francophones dans l’état en en incluant. Moi, j’y ai suggéré des transcriptions à Jean Arceneaux (dit Barry Ancelet) des contes folkloriques ou peut-être le livre à Susan Spillman Compère Lapin voyageur. Après donner ces œuvres. En donnant une visibilité plus importante à ces œuvres et en rassemblant les publieurs francophone louisianais, comme Éditions Tintamarre de Centenary College, et les bibliothèques, une scène littéraire plus forte pourrait advenir.
Et allons pas oublier d’user le français équand on visite la succursale Latter. J’ai été informé qu’il y a deux employés qui parlent couramment français et un francophone va se charger de gérer la section en août. De la même manière que je mousse le monde d’obstiner sur l’usage du français dans les interactions publiques aux biznisses francophones entour de l’état, on pourrait égal faire la même équand on visite les bibliothèques.
Cette initiative a de l’espace abondant pour se développer, et c’est magnifique de voir ces efforts de la part de la bibliothèque et le Consulat général.
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