J’ai parlé pour une manière qu’on peut créer un faux environnement d’immersion après user les mondes virtuels, mais aujourd’hui je voudrais parler pour la manière qu’on peut profiter le mieux de l’entrée qu’on reçoit dans ces mondes. C’est-à-dire, allons parler pour la conscience métalinguistique.
On peut commencer à comprendre cette idée avec un exemple d’un poème à Kirby Jambon, après qui j’a déjà écrit icitte et icitte. À droite, on peut voir un patron : substantif (pluriel) et leur(s) substantif (singulier/pluriel). Le premier substantif est toujours pluriel tandis que le deuxième est soit singulier soit pluriel. Puisqu’y a dans chaque cas plusieurs aucuns, on espérerait que le deuxième substantif serait égal au premier, mais ça, c’est pas le cas. Ça, c’est à cause de la différence entre les noms comptables et les noms massifs.
Un nom comptable est un substantif qu’on peut modifier avec un nombre, comme le mot bêtise dans ce cas. On peut parler pour plusieurs bêtises (c’est-à-dire, deux bêtises, trois bêtises, etc.). Au contraire, on peut pas parler pour plusieurs pauvretés. Y en a rien qu’une, et puis p’us, heureusement. Ça fait, le mot pauvreté est un nom massif.
Le texte à M. Jambon montre bien cette différence, mais je vous le signale pour démontrer ça que veut dire « la conscience métalinguistique ». Ça veut dire qu’on lit avec attention. Ça veut dire qu’on jongle après ça qu’on lit et là qu’on pose les bonnes questions. C’est aussi important de comprendre la raison qu’on diserait ci et ça que de comprendre ça que veut dire une phrase. Demandez-vous tout le temps tandis que vous-autres est après lire, « Quoifaire ? » Lisez avec attention. C’est plus facile d’apprendre deux ou trois règles que de mémoriser 3.000 phrases.
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